Le Sleg’s website

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    Le Sleg’s website est un site entièrement consacré à la pêche qui vous propose des articles expliquant plusieurs techniques pêche pour le plus grand plaisir des débutants et des pêcheurs confirmés.

    Le but de ce site étant de faire connaître la pêche et tout ce qui a attrait au milieu aquatique du plus jeune au plus vieux d’entre nous.

    L’équipe de rédaction étant relativement jeune, je vous prierais donc nous excuser pour les erreurs que se site pourrait contenir. Nous vous remercions de votre visite et vous souhaitons une bonne découverte.


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  •   Remplir un moulinet

    samedi 9 octobre 2010, par Le sam



    > Trucs et Astuces > Simple et efficace



      Le Sleg’s Website.

    mercredi 29 avril 2009, par Le sam


    J’écris cet article car je suis dans l’incapacité de m’investir complètement dans ce site internet, il me faudrait donc de nouveaux auteurs sérieux qui partage cette même passion de la pêche.

    Si cela vous interesse, je vous pris donc de me contacter sur mon adresse Email.

    Tous mes remercîments et bonne visite.


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      Ombe commun (Thymallus thymallus)

    mardi 8 juillet 2008, par Le sam


    Thymallidés

    Proche voisin de la truite, l’ombre est un des plus beaux poissons de la montagne jurassienne. Il tien son nom scientifique du parfum de thym de sa chair. Anciennement rangé dans la famille des salmonidés, au sein de la sous-famille des thymallinés, il partage avec eux la présence d’une petite nageoire adipeuse derrière la dorsale. Le corps, fusiforme, légèrement bombé, porte une ample nageoire en étendard dorsal irisé, souvent rabattue en arrière sur le dos. La teinte générale est gris verdâtre à gris bleuté, sans rupture entre le dos et les flancs, argentés ou dorés, ponctués de noir et garnis de rangées d’écailles très régulières. La bouche est petite. La pupille, en pointe étirée vers l’avant et cerclée d’or, donne à l’espèce une très bonne vision vers le haut et fait de l’ombre un excellent moucheronneur. Le rapport Taille/poids se situe entre 30 et 40 cm pour 500 g, les observations conduites aux marges de la montagne faisant état, dans le Dessoubre (F-Doubs) notamment, de sujet de 55 cm pour 1,5 kg. Ces valeurs rapprochent les hôtes du réseau hydrographique franc-comtois des ombres de 2 kg d’Europe centrale.

    Sa Vie

    Habitant typique des secteurs ouverts à ample alternance de seuils et de calmes des moyennes et grandes rivières, l’ombre remplace progressivement la truite dans la succession longitudinale des espèces zonales repères de la faune piscicole. Il se déplace en bacs de taille et de nombre assez régulièrement proportionnés avec l’âge, sur les vastes platis courants qu’il affectionne. En grandissant, il fréquente les profonds, sans présenter, comme la truite, un comportement fixé. Il se nourrit à la fois au fond, où il prélève la petite faune des colonies de mousse des nassis, et en surface, où il vient s’alimenter en période chaude et lors des éclosions d’insecte à larves aquatiques. La reproduction a lieu au printemps, toujours dans le lit principal, le choix des frayères répondant à des critères très précis.

    Au cours de l’acte nuptial, spectaculaire et brouillant, les mâles fortement colorés arrivent les premiers sur la frayère, les dominant repoussant leurs congénères vers les lieux de reproduction moins favorable. Les femelles venant du fond les rejoignent pour l’appariement. Enveloppées par la nageoire dorsale du mâle, elle enfonce avec lui la partie postérieur du corps dans les graviers, où sont émit les œufs et la laitance. Souvent un petit mal vient se joindre activement au couple pour féconder les œufs. Il arrive fréquemment que certain d’entre eux, généreux et impatient, affichent un comportement homosexuel ou courtisent un barbeau venu fouiller le gravier à la recherche de nourriture.

    Un Peu d’Histoire

    L’histoire de la répartition de l’ombre, originaire du bassin du Danube, vers les territoires jurassiens remonte au Pliocène inferieur, sa progression vers l’ouest étant plus récente, morcelée et liée aux travaux hydraulique du XVII° siècle. Présent en France dans les hauts bassins de la Loire, de la Seine et du Rhône, il est typiquement réparti en Europe de l’Est dans les bassins rattachés à la mer du Nord, à la Baltique à la mer Noire et à la mer Blanche.

    L’ombre est fréquent dans toute la suisse, mais ses populations y ont notablement régressé au cours des dix dernières années. Sa remontée vers les têtes de bassin témoigne du réchauffement naturel général des eaux, dont l’impact est renforcé par de nombreuses activités humaines. Le colmatage des fonds par les dépôts polluants et les développements algaux printaniers précoces sont, pour une large part, à l’origine de la réduction des populations dans les cours d’eau européens et en particulier dans les rivières du Jura.

    Dans la montagne jurassienne, l’ombre est, avec la truite, l’espèce la plus rechercher de la portion aval du Doubs frontalier, où l’un de ses territoires d’élection est centré sur le Moulin-du-Plain, entre Goumois (F-Doubs) et Clairbief (CH-Jura).


    > Les Poissons > L'ombre



      Le Gardon

    vendredi 14 décembre 2007, par Le sam


    Le gardon

    Le gardon est sans aucun doute le partenaire idéal du pêcheur au coup, par sa présence en nombre dans tous les lacs et rivières de france, mais aussi parce qu’il est actif tout au long de l’année : même l’hiver !! Il est donc notre meilleur associé pour de très belles bourriches. Mais il ne faut croire qu’il est facile de le pêcher, sa pêche doit être fine et subtile ! d’où tout l’intérêt du gardon. Découvrons ou redécouvrons donc ce magnifique poisson, emblème de la pêche au coup.

    CARACTERISTIQUES

    Son identité :

    nom scientifique : Rutilus rutilus Il est plus communément appelé gardon ou rousse. Et les anglais l’appelle roach, un peu d’anglais ne fait pas de mal ! Il fait partie de la famille des Cyprinidés.

    Sa description :

    Une bonne illustration est bien plus claire qu’un long discours, vous serez donc épargnés de longues et ennuyeuses descriptions textuelles ! Place aux images.

    ECOLOGIE

    Son habitat :

    Il se trouve la plupart du temps à proximité du fond et des herbiers, et préfère les fonds propres et oxygénés. En été on le trouvera surtout dans des fonds de 2m à 3m, tandis que l’hiver, il se réfugie dans les fonds importants. Il se tient souvent dans les zones de courant ou de remous, une rupture brutale du fond (ou cassure) sont aussi des zones où il aime bien s’installer.

    Son alimentation :

    Il se nourrit essentiellement d’invertébrés aquatiques, que se soit des mollusques, des vers ou des larves, mais aussi de végétaux, comme de la mousse ou des algues (d’ailleurs on peut les pêcher à la mousse en plein été !!). Il vient aussi gober de petits insectes en surface, essentiellement l’été.

    Son mode de vie :

    C’est un poisson grégaire, il vit donc en groupes importants parmis la végétation. Et ceci est intéressant pour nous pêcheurs car si l’on arrive à les faire entrer sur notre coup, c’est une belle bourriche assurée !! Seul les gros spécimens restent un petit peu à l’écart.

    Sa reproduction :

    elle se déroule d’avril à juin ou parfois juillet, dans une eau d’au moins 12°C ; c’est pourquoi son frai est repoussée à juillet quelque fois, lorsqu’il a fait trop froid mai-juin ! Et lorsque leur frai est repoussé, il devient difficile de les pêcher car il ne se nourrit presque plus en attend des jours meilleurs pour frayer ! On distingue facilement un gardon en période de frai : il a la peau rugueuse, des petits boutons recouvrent son corps et parfois il a comme des taches noirs ! Si sa pêche est difficile durant cette période, dès qu’il a fini sa reproduction le gardon se nourrit énormement : sa pêche devient alors très active. Pour information : une femelle pond de 50 000 à 100 000 oeufs qui se déveloperont en 8 à 15 jours. Nos petits gardons mettront 2 à 3 ans pour devenir mature et se reproduire à la tour. Il faut savoir que le gardon a une croissance lente !


    > Les Poissons > Le Gardon



      A - La Pêche au coup

    samedi 8 décembre 2007, par Le sam


    La pêche au coup est une technique qui consiste à attirer le poisson à un endroit déterminé appelé coup. Le principe parait simple, mais de nombreuses règles doivent être connues en fonction du lieu de pêche et de l’espèce de poisson recherchée. On ne peut pratiquer celle-ci que sur les rivières de deuxième et troisième catégorie (rivière lente, fleuve), les canaux, les étangs.

    Les espèces de poissons ciblées sont les poissons blancs : ablettes, gardons, brèmes, carpes, tanches, rotengles sont ceux qui sont le plus pêchés par cette technique.

    Principe : à partir d’un mélange plus ou moins complexe de farine et de graine de toutes sortes on confectionne une amorce qui sera lancée à une certaine distance du bord, déterminée par la longueur de la canne, en général entre 6 et 14 mètres. L’amorce par sa composition va attirer le poisson sur le coup, zone où l’on viendra pêcher au ras du fond avec une ligne flottante ou non.

    Cette pêche est dite sportive et de nombreux concours ont lieu dans de nombreux pays tant au niveau national qu’international. Il y a également des compétitions inter-nations. Les meilleurs pêcheurs sont sponsorisés par de grandes marques. Citons quelques grandes nations qui ont été championnes du monde : l’Angleterre, la France, la Belgique, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, ainsi que certains pays de l’est qui depuis quelques années sont souvent sur les podiums internationaux Il faut de nombreuses années de persévérance pour commencer à obtenir des résultats, il y a peu d’écoles pour ce type de pêche, c’est l’écoute et les conseils des autres qui permettent d’évoluer dans cette discipline.


    > Techniques de pêche > La pêche au coup



      Easy scienceS

    site partenaire

    samedi 20 octobre 2007, par Le sam


    Easy scienceS est un site récent à dominance scientifique. L’objectif du site est de faire découvrir divers domaines scientifiques au plus grand nombre : la physique théorique, l’astronomie... ne sont pas réservés à une élite. Nous n’avons aucun but lucratif.

    Vous trouverez des disciplines variées : des énigmes et paradoxes accompagnés de solutions, des articles scientifiques (astronomie, planétologie, astrophysique, physique théorique), des TPE (épreuve anticipée du bac générale : Travaux Personnels Encadrés ; vous trouverez des TPE sur la cryptographie, les astéroïdes...), des programmes PHP, JavaScript parfois accompagnés de leurs sources, une rubrique échecs qui vient d’ouvrir et où vous pourrez apprendre les bases des échecs, les stratégies, les coups, l’histoire des échecs...

    Ce contenu déjà conséquent ne cesse de croître grâce à une équipe de rédaction très motivée et investie. Ces rédacteurs encore jeunes (nés en 1990) poursuivent tous des études en section scientifique et contribue au développement d’Easy scienceS de manière bénévole.

    Easy scienceS

    > Informations



      Comment la reconnaître

    samedi 6 octobre 2007, par Le sam


    Commen la reconnaître :

    La tanche a un corp allongé, assez bossu et massif, au lignes arrondies, comme le sont ses nageoires qui lui confèrent une certaine élégance. Assez grosse et trapue, la tête a des yeux à iris orange à rouge, pas très grands, mais mobiles. La bouche est petite, bordée de grosses lèvres avec, de chaque côté, un court barbillon.

    La nageoire dorsale, courte mais haute avec des bords arrondis, se situe juste en arrière du sommet de la bosse. La queue, peu entaillée, est puissante et assez large. L’anale est aussi développée ; par rapport à la dorsale, elle es t positionnée encore plus en arrière. Les autres nageoire sont de dimention moyenne.Chez certains spécimens mâles, les nageoires ventrales sont plus longues et ont le premier rayon plus épais et dentelé.

    Sa robe :

    La peau est épaisse et riche en glande muqueuses qui la rendent visqueuse. Elle est revêtue de très petites écailles très enfoncées. La robe est généralement de couleur vert fonncé sur le dos, se qui dégradant en tons plus clairs et jaunâtres sur les flancs et en blanc jaunâtre sur le ventre. Ce sont les couleurs typiques des tanches qui vivent dans des eaux limpides et profondes comme celles des lacs. La robe peut être aussi brun verdâtre ou vert olive pâle selon le type des eaux, du fond et la profondeur où vit le poisson.

    Son mucus thérapeutique :

    On dit que le mucus e la tanche, le plus visqueux de tous les poissons, si l’on exepte l’anguille, aurait des vertus cicatrisantes pour les blessures des autres poissons. C’est ce qui conduirait le brochet, par exemple, à se frotter conrtre le corp de se "poisson médecin" pour guérir ses lésions les plus graves. Ce serait pour cette raison que le brochet et les autres prédateur ne s’attaqueraient pas à la tanche.


    > Les Poissons > La Tanche



      Le coregone

    dimanche 23 septembre 2007, par Le sam


    Le corégone ressemble à un poisson "blanc" mais il appartient à la famille des salmonidés d’ou la petite nageoire adipeuse caractéristique. L’arrière des nageoires dorsale et ventrale se trouve presque à l’aplomb.

    Le corégone vit dans les lacs profonds aux eaux froides. Poisson grégaire, il se déplace toujours en groupe composé d’un grand nombre d’individus. Il n’a pas de poste précis, mais se situe en pleine eau, dans la couche d’eau dans laquelle il trouve de la nourriture. En règle générale, au printemps les corégones occupent des zones profondes, proches du fond, dans des profondeurs allant de 20 à 25 mètres. Puis progressivement avec les chaleurs estivales, ils remontent et il devient possible alors de les localiser entre deux eaux. A l’automne, ils ont tendance à redescendre à nouveau proche du fond.

    15 coregone à 2 sur Remoray

    La fraie se déroule de décembre à janvier, en bordure des plans d’eau, dans une hauteur d’eau d’environ 2 mètres. Les reproducteurs portent à cette époque des tubercules nuptiaux. La maturité sexuelle est atteinte à 3 ou 4 ans.

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    Coregoniste sur le Lac st Point

    Sa petite bouche est caractéristique de son mode d’alimentation. Le corégone est un planctonophage, ce qui signifie qu’il se nourrit essentiellement de plancton, et plus particulièrement de petites formes de plancton. Mais il se nourit également des macros invertébrés, notamment de nymphes de diptères qui émergent du fond du plan d’eau et qui lui offrent une nourriture abondante et régulière sur tout le cycle annuel (exemple : les verres de vaze).


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      L’Ombre (Thymallus thymallus)

    samedi 15 septembre 2007, par Le sam


    L’Ombre Commun est un poisson d’eau douce de la famille des Salmonidae (même famille que la truite). Il vit dans les eaux fraîches et profondes avec fond sableux où il recherche les zones les plus oxygénées. Il se reconnaît grâce à sa nageoire dorsale particulièrement développée (appelée aussi "étendard"), bien colorée chez les mâles.

    Sa taille varie entre 15 et 60 cm pour une moyenne de 30 ou "250 g". Cet animal se dit grégaire. Il vit en banc avec des congénères d’une même classe d’âge, plutôt dans des eaux tumultueuses (pour l’oxygénation et la température) et d’une grande qualité (voir eau pure).


    > Les Poissons > L'ombre



      La perche

    samedi 15 septembre 2007, par Le sam


    La perche commune est un poisson d’eau douce de la famille des Carnassiers (même famille que le brochet). elle vit par bancs, dans les eaux profondes des lacs, où elle remonte des grands fonds en été, pour rejoindre des zones d’eaux plus chaudes.

    On la reconnaît grâce à ses rayures foncées sur son dos et à sa nageoire dorsale particulièrement saillante. Sa taille varie entre 5 et 40 cm pour une moyenne de 15 cm et environ 100 g. Elle est très connue pour ses qualités gustatives.


    > Les Poissons > La Perche



      Le brochet (esox lucius)

    dimanche 9 septembre 2007, par Le sam


    Le brochet est un poisson d’eau douce. C’est sans doute le "Carnassier" le plus connue de notre époque . Il vit aussi bien dans les eaux profondes des lacs et étangs, que dans les eaux rapides des rivières. Sa première préoccupation est de rechercher les zones herbeuses pour s’y réfugier, mais aussi pour y traquer ce fameux "poisson fourrage".

    Brochet de 80 prit sur le lac st point.

    "Esox" est facilement reconnaissable par sa gueule en forme de bec (d’où l’expression "j’ai pris un bec", chez les pêcheurs).Sa taille varie entre 50 et 130 cm pour une moyenne de 60 cm, soit 2 kg environ. Cet animal se déplace au fur et à mesure des saisons, il suit les bancs de corregones, qui constituent sa principale nourriture.

    Me voici ayant pris un brochet de 70, toujours sur le lac st point.


    > Les Poissons > Le Brochet



      Comment le reconnaître

    dimanche 9 septembre 2007, par Le sam


    Le reconnaître :

    Le corps du sandre est long, avec une légère bosse en arrière de la tête. Cette dernière, allongée, se termine en pointe. La bouche du sandre est largement fendue et ses machoires sont garnies de dents, la superieure portant deux fortes canines suivies de dents de velours, puis la machoire inférieure portant deux grandes canines suivies d’autres plus petites, mélées aux dents de velours. Sa langue est lisse.

    Sandre

    Le dos porte deux dorsales contiguës : la première portée par des rayons épineux, la secondene comprenant que des rayons mous. Les deux premiers rayons de la nageoire anale sont épineux. La caudale large, échancrée, précédée par un pédoncule caudal long et arrondi.

    Sa robe :

    Des écailles moyennes rugueuses recouvrent le corps du sandre. Le gris verdâtre domine sur le dos, les flencs plus clairs sont marqués de 8 à 15 bandes transversales sombres. Ces bandes se transforment en taches sombres qui apparaissent sur les nageoirs dorsales et caudale. Le ventre est gris jaunâtre. La ligne laterale se prolonge, au-delà du pédoncule caudal, sur la nageoire caudale.


    > Les Poissons > Le Sandre



      La truite

    dimanche 9 septembre 2007, par Le sam


    La truite est un poisson de la famille des salmonidés (espèce reconnaissable à la nageoire dite adipeuse présente sur le dos des salmonidés uniquement), elle vit dans des eaux vives, avoisinant les chutes d’eau pour y trouver de l’oxigène.

    Bien que la plupart des truites vivent exclusivement en eau douce, certaines espèces (Oncorhynchus mykiss et Salmo trutta fario notamment) présentent des spécimens qui passent leur vie adulte dans l’océan et remontent les rivières pour se reproduire, à l’exemple des saumons.

    Les truites sont carnivores. Elles se nourrissent principalement de vers et d’insectes. Toutefois les spécimens les plus imposants chassent également d’autres poissons comme le vairon et autres alevins.

    La pêche de la truite peut également se pratiquer comme un sport, notamment avec la pratique du no-kill.


    > Les Poissons > La Truite



      Le Sleg’s website

    vendredi 7 septembre 2007, par Le sam


    Pour tous ceux et celles qui voudrai se joindre ou participer à l’élaboration de se site, n’hésiter pas à me joindre à l’adresse suivante :
    — > le.sleg@hotmail.fr

    Merci de votre coopération, le but étant de faire évoluer notre site le plus rapidement possible , et qu’un jour peut-être, Le sleg’s website passe en tête du classement des meilleurs sites de pêche existant ! Vous serrez donc les bienvenues !


    > Informations



      A - La Pêche à la Mouche

    vendredi 7 septembre 2007, par Le sam


    Vous avez certainement déjà vu, au détour d’une rivière, un moucheur, faisant virevolter en l’air sa soie, dans un geste précis et déterminé, pour venir déposer sur l’eau cette fameuse mouche, qui séduira sans doute une de ces "Miss de la Rivière" .

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    moucheur

    Fasciné par le style et la beautée de ces gestes, vous en avez rêvé mais n’avez, jusqu’alors, jamais osé vous lancer. Trop chère, trop compliqué, ! Rien n’est plus faux.

    Celles et ceux qui ne se sont jamais investis dans ce type de pêche seront sans doute surpris de constater qu’il n’y a pas seulement la truite, mais bien d’autres poissons, à être convoités par les rois du fouet.

    La pêche à la mouche se décline en quatre catégories :

    >> la pêche à la mouche sèche, >> la pêche à la mouche nymphe, >> la pêche à la mouche noyée, >> la pêche à la mouche streamer.

    Ces techniques consistent à imiter soit les insectes qui pondent leur œufs à la surface de l’eau (mouches sèches), soit l’éclosion de ces œufs (nymphes et émergeantes), soit des insectes noyés ou en vie subaquatique (nymphes et noyés), soit des petits poissons (streamers). Les poissons comme l’ombre, la truite et les autres prédateurs étant consommateurs de ces insectes ou de ces poissons, ils mordent à l’hameçon. La pêche à la mouche permet de prendre tous types de poisson dans des milieux variés (eau douce, eau salée).

    Une "mouche" est donc une imitation, nommée aussi "artificielle", qui tend soit à provoquer une attitude agressive de la part du poisson recherché (territorialité), soit à reproduire, plus ou moins parfaitement, l’insecte ou le poissonnet dont le prédateur se nourrit. Cette artificielle est généralement faite par le pêcheur à la mouche lui-même en fixant sur l’hameçon divers matériaux, plumes et poils variés le plus souvent. Cette activité de "montage de mouche" nécessite, outre une grande dextérité, une bonne connaissance de l’éthologie des salmonidés et une expertise certaine en entomologie.

    La première description écrite de pêche à la mouche se trouve dans le Natura Animalium, où Claude Aelien (200 après J.C.) décrit une technique de pêche macédonnienne consistant à leurrer des "poissons tachetés" (probablement des truites fario) à l’aide d’hameçons recouvert de laine rouge et cerclés de plumes de coq. Il est remarquable de constater qu’au XXIe siècle c’est la même technique, pratiquement inchangée, qui permet aux "moucheurs" de leurrer des truites en imitant Ecdyonurus venosus (éphémère de la famille des Heptagéniidés).


    > Techniques de pêche > La pêche à la mouche